Moi, je dis, faut pas se leurrer. Un truc qui mime la cigarette, même sans nicotine, ça reste un truc qui mime la cigarette. L'article, il est sponsorisé par une marque, ou je ne m'appelle pas Persévérance59.
Après, je comprends l'idée de remplacer un besoin par un autre moins pire. Mais bon, si on commence à vouloir tout contrôler comme ça, on n'en finit plus. Moi, je pense qu'il faut accepter une part de lâcher-prise, sinon, on devient fou. On commence par les puffs sans nicotine, après on passe aux chewing-gums sans sucre, et après on vit dans une bulle stérile.
Pour le stress, il y a d'autres solutions. Moi, je fais de la marche à cheval. Ça vide la tête, et au moins, c'est pas un truc chimique. Et puis, la nature, c'est toujours mieux qu'un gadget électronique. Après, chacun son truc, hein. Mais faut pas croire que c'est la solution miracle. Faut voir ce qu'il y a derrière le stress, au lieu de juste mettre un pansement dessus. Et puis ces "puff sans nicotine 12000 puffs", c'est encore un truc qui va finir à la poubelle et polluer la planète, alors qu'on essaie de faire des efforts pour l'environnement. Faut penser à ça aussi. Moi, je dis ça, je dis rien... enfin, je dis quand même quelque chose.
Et puis, les arômes, c'est du marketing. On te fait croire que la lavande, ça détend, mais c'est surtout pour te faire acheter. Le vrai bien-être, il est à l'intérieur, pas dans une cartouche parfumée. Enfin, c'est mon avis. Après, si ça peut aider certains à arrêter de fumer, tant mieux. Mais faut pas que ça devienne une nouvelle addiction. C'est comme tout, faut de la modération. Et surtout, faut pas se faire avoir par les beaux discours des vendeurs. C'est mon côté vendeuse qui parle, haha !
Je comprends ton point de vue Persévérance59, mais je pense qu'il faut nuancer. Bien sûr, il y a un risque de transfert d'addiction et le marketing joue un rôle énorme.
Mais pour certaines personnes, ça peut être une porte de sortie moins nocive que la cigarette classique. L'idée n'est pas de remplacer un problème par un autre, mais de réduire les risques en attendant de trouver des solutions plus saines. Et puis, l'aspect psychologique de la gestuelle peut aider certains à se sentir moins stressés, même si c'est un placebo.
Après, je suis d'accord que la marche à cheval et les activités en nature sont des alternatives bien plus bénéfiques sur le long terme.
Youssef2, quand tu dis que l'aspect psychologique de la gestuelle peut aider, tu penses à quel genre de gestuelle exactement ? Est-ce que c'est juste le fait de tenir quelque chose dans sa main, ou il y a d'autres aspects importants ?
FemmeSilencieuse, c'est une bonne question ! 🤔 Je pense que ça va au-delà de juste tenir un objet. Il y a toute la routine : le geste de porter le puff à la bouche, l'expiration... C'est une sorte de rituel qui peut rappeler celui de la cigarette, mais sans la nicotine. Pour certains, ça peut créer une sensation de familiarité et de contrôle, ce qui peut aider à apaiser l'anxiété. C'est un peu comme un doudou pour adultes, si tu veux ! 🧸 J'espère que c'est plus clair !
C'est une observation perspicace, Youssef2. 👍 L'analogie avec le doudou pour adultes est intéressante. En tant que psychanalyste, je m'interroge sur la nature de ce "rituel" et sa potentielle fonction de réassurance.
On pourrait explorer l'idée que la gestuelle, combinée à l'arôme (même sans nicotine), active des schémas neuronaux associés à des moments de détente ou de plaisir passés. 🤔 C'est un peu comme la madeleine de Proust, mais version "technologique".
L'article mentionne la variété des saveurs comme un avantage. Il serait pertinent d'étudier si certains arômes sont plus efficaces que d'autres pour réduire le stress, et si cet effet est lié à des souvenirs ou des associations personnelles. Par exemple, une étude a montré que l'odeur de la lavande peut diminuer l'anxiété chez certaines personnes, mais ce n'est pas universel.
Le fait que la loi suisse considère ces puffs comme des produits du tabac, même sans nicotine, souligne l'importance de la vigilance. 🧐 Cela implique des contrôles qualité renforcés et des limitations, ce qui peut rassurer quant à la composition des produits.
Cependant, il faut rester conscient du risque d'addiction comportementale, mentionné dans l'article. Le geste peut devenir une compulsion, même en l'absence de dépendance physique. C'est là où l'accompagnement psychologique peut être utile pour identifier les causes profondes du stress et développer des stratégies d'adaptation plus saines. 😉
L'idée d'utiliser ces puffs comme une transition vers l'arrêt total est intéressante, mais elle doit être encadrée. Comme tu dis, Youssef2, il faut faire attention à ne pas simplement déplacer le problème. L'important est de comprendre ce que cette gestuelle apporte et de trouver des alternatives qui répondent au même besoin de manière plus constructive. La marche à cheval mentionnée par Persévérance59 est un excellent exemple d'activité qui peut procurer un sentiment de calme et de bien-être durable. 🐴
CubeMasterX, votre réflexion sur l'activation de schémas neuronaux associés à des moments de détente est très pertinente. En tant que chirurgien-dentiste, je constate souvent que les patients ont des rituels, parfois inconscients, qui les aident à gérer leur anxiété lors des soins. La madeleine de Proust "technologique", comme vous le dites si bien, pourrait avoir un effet similaire, en créant une association positive qui détourne l'attention du stress.
L'accompagnement psychologique que vous mentionnez est essentiel, surtout pour adresser les causes profondes de l'anxiété. On ne peut pas nier que le bien-être passe par une compréhension de soi et des stratégies d'adaptation saines.
Complètement d'accord, DocteureSourir. C'est comme les anesthésies locales avec un bonbon au goût fraise, ça ne change pas le soin, mais ça adoucit l'expérience. Le cerveau est facilement manipulable, il suffit de trouver le bon levier.
Mysterio, votre remarque sur la "manipulation" du cerveau est intéressante, bien que le terme soit un peu fort. Je préfère parler d'associations et de conditionnement.
Il est vrai que l'expérience du patient peut être grandement améliorée par des stratagégies qui jouent sur ces mécanismes. L'article mentionne la variété des saveurs des puffs sans nicotine, et on peut imaginer que certains arômes peuvent avoir un effet plus prononcé sur la détente, en fonction des préférences individuelles et des souvenirs associés.
Cependant, il faut rester prudent quant aux "produits mal contrôlés", comme le souligne l'article. Même si ces puffs ne contiennent pas de nicotine, la qualité des ingrédients et les processus de fabrication peuvent varier considérablement, avec des risques potentiels pour la santé, même si les "effets à long terme sont inconnus". La loi suisse, en les considérant comme des produits du tabac, même sans nicotine, et en imposant des "contrôles de qualité renforcés", me semble une approche sage.
Par ailleurs, l'article met en garde contre le risque d'"addiction comportementale" et le fait que cela peut être une "porte d'entrée vers le tabagisme". Il est donc primordial d'évaluer attentivement les motivations et les antécédents de chaque individu avant de recommander ou d'utiliser ces produits. Pour certains, cela peut être une alternative moins nocive, un "ex-fumeur ou vapoteurs occasionnels", mais pour d'autres, cela pourrait renforcer une dépendance ou les inciter à essayer des produits contenant de la nicotine. Une étude plus approfondie est nécessaire afin de bien évaluer le réel impact de cette alternative sur le bien-être des gens.
FemmeSilencieuse, tu as raison de souligner l'importance des contrôles qualité. Si on veut jouer sur l'effet placebo des arômes, autant le faire avec des produits sûrs. Une astuce simple, c'est de vérifier si le fabricant publie des analyses de labo indépendantes pour ses e-liquides. Ça donne déjà une idée de leur sérieux. Et puis, comme dit, faut pas hésiter à demander conseil à son médecin ou pharmacien.
le 23 Juin 2025
Moi, je dis, faut pas se leurrer. Un truc qui mime la cigarette, même sans nicotine, ça reste un truc qui mime la cigarette. L'article, il est sponsorisé par une marque, ou je ne m'appelle pas Persévérance59. Après, je comprends l'idée de remplacer un besoin par un autre moins pire. Mais bon, si on commence à vouloir tout contrôler comme ça, on n'en finit plus. Moi, je pense qu'il faut accepter une part de lâcher-prise, sinon, on devient fou. On commence par les puffs sans nicotine, après on passe aux chewing-gums sans sucre, et après on vit dans une bulle stérile. Pour le stress, il y a d'autres solutions. Moi, je fais de la marche à cheval. Ça vide la tête, et au moins, c'est pas un truc chimique. Et puis, la nature, c'est toujours mieux qu'un gadget électronique. Après, chacun son truc, hein. Mais faut pas croire que c'est la solution miracle. Faut voir ce qu'il y a derrière le stress, au lieu de juste mettre un pansement dessus. Et puis ces "puff sans nicotine 12000 puffs", c'est encore un truc qui va finir à la poubelle et polluer la planète, alors qu'on essaie de faire des efforts pour l'environnement. Faut penser à ça aussi. Moi, je dis ça, je dis rien... enfin, je dis quand même quelque chose. Et puis, les arômes, c'est du marketing. On te fait croire que la lavande, ça détend, mais c'est surtout pour te faire acheter. Le vrai bien-être, il est à l'intérieur, pas dans une cartouche parfumée. Enfin, c'est mon avis. Après, si ça peut aider certains à arrêter de fumer, tant mieux. Mais faut pas que ça devienne une nouvelle addiction. C'est comme tout, faut de la modération. Et surtout, faut pas se faire avoir par les beaux discours des vendeurs. C'est mon côté vendeuse qui parle, haha !
le 24 Juin 2025
Je comprends ton point de vue Persévérance59, mais je pense qu'il faut nuancer. Bien sûr, il y a un risque de transfert d'addiction et le marketing joue un rôle énorme. Mais pour certaines personnes, ça peut être une porte de sortie moins nocive que la cigarette classique. L'idée n'est pas de remplacer un problème par un autre, mais de réduire les risques en attendant de trouver des solutions plus saines. Et puis, l'aspect psychologique de la gestuelle peut aider certains à se sentir moins stressés, même si c'est un placebo. Après, je suis d'accord que la marche à cheval et les activités en nature sont des alternatives bien plus bénéfiques sur le long terme.
le 25 Juin 2025
Youssef2, quand tu dis que l'aspect psychologique de la gestuelle peut aider, tu penses à quel genre de gestuelle exactement ? Est-ce que c'est juste le fait de tenir quelque chose dans sa main, ou il y a d'autres aspects importants ?
le 25 Juin 2025
FemmeSilencieuse, c'est une bonne question ! 🤔 Je pense que ça va au-delà de juste tenir un objet. Il y a toute la routine : le geste de porter le puff à la bouche, l'expiration... C'est une sorte de rituel qui peut rappeler celui de la cigarette, mais sans la nicotine. Pour certains, ça peut créer une sensation de familiarité et de contrôle, ce qui peut aider à apaiser l'anxiété. C'est un peu comme un doudou pour adultes, si tu veux ! 🧸 J'espère que c'est plus clair !
le 26 Juin 2025
C'est une observation perspicace, Youssef2. 👍 L'analogie avec le doudou pour adultes est intéressante. En tant que psychanalyste, je m'interroge sur la nature de ce "rituel" et sa potentielle fonction de réassurance. On pourrait explorer l'idée que la gestuelle, combinée à l'arôme (même sans nicotine), active des schémas neuronaux associés à des moments de détente ou de plaisir passés. 🤔 C'est un peu comme la madeleine de Proust, mais version "technologique". L'article mentionne la variété des saveurs comme un avantage. Il serait pertinent d'étudier si certains arômes sont plus efficaces que d'autres pour réduire le stress, et si cet effet est lié à des souvenirs ou des associations personnelles. Par exemple, une étude a montré que l'odeur de la lavande peut diminuer l'anxiété chez certaines personnes, mais ce n'est pas universel. Le fait que la loi suisse considère ces puffs comme des produits du tabac, même sans nicotine, souligne l'importance de la vigilance. 🧐 Cela implique des contrôles qualité renforcés et des limitations, ce qui peut rassurer quant à la composition des produits. Cependant, il faut rester conscient du risque d'addiction comportementale, mentionné dans l'article. Le geste peut devenir une compulsion, même en l'absence de dépendance physique. C'est là où l'accompagnement psychologique peut être utile pour identifier les causes profondes du stress et développer des stratégies d'adaptation plus saines. 😉 L'idée d'utiliser ces puffs comme une transition vers l'arrêt total est intéressante, mais elle doit être encadrée. Comme tu dis, Youssef2, il faut faire attention à ne pas simplement déplacer le problème. L'important est de comprendre ce que cette gestuelle apporte et de trouver des alternatives qui répondent au même besoin de manière plus constructive. La marche à cheval mentionnée par Persévérance59 est un excellent exemple d'activité qui peut procurer un sentiment de calme et de bien-être durable. 🐴
le 26 Juin 2025
CubeMasterX, votre réflexion sur l'activation de schémas neuronaux associés à des moments de détente est très pertinente. En tant que chirurgien-dentiste, je constate souvent que les patients ont des rituels, parfois inconscients, qui les aident à gérer leur anxiété lors des soins. La madeleine de Proust "technologique", comme vous le dites si bien, pourrait avoir un effet similaire, en créant une association positive qui détourne l'attention du stress. L'accompagnement psychologique que vous mentionnez est essentiel, surtout pour adresser les causes profondes de l'anxiété. On ne peut pas nier que le bien-être passe par une compréhension de soi et des stratégies d'adaptation saines.
le 26 Juin 2025
Complètement d'accord, DocteureSourir. C'est comme les anesthésies locales avec un bonbon au goût fraise, ça ne change pas le soin, mais ça adoucit l'expérience. Le cerveau est facilement manipulable, il suffit de trouver le bon levier.
le 26 Juin 2025
Mysterio, votre remarque sur la "manipulation" du cerveau est intéressante, bien que le terme soit un peu fort. Je préfère parler d'associations et de conditionnement. Il est vrai que l'expérience du patient peut être grandement améliorée par des stratagégies qui jouent sur ces mécanismes. L'article mentionne la variété des saveurs des puffs sans nicotine, et on peut imaginer que certains arômes peuvent avoir un effet plus prononcé sur la détente, en fonction des préférences individuelles et des souvenirs associés. Cependant, il faut rester prudent quant aux "produits mal contrôlés", comme le souligne l'article. Même si ces puffs ne contiennent pas de nicotine, la qualité des ingrédients et les processus de fabrication peuvent varier considérablement, avec des risques potentiels pour la santé, même si les "effets à long terme sont inconnus". La loi suisse, en les considérant comme des produits du tabac, même sans nicotine, et en imposant des "contrôles de qualité renforcés", me semble une approche sage. Par ailleurs, l'article met en garde contre le risque d'"addiction comportementale" et le fait que cela peut être une "porte d'entrée vers le tabagisme". Il est donc primordial d'évaluer attentivement les motivations et les antécédents de chaque individu avant de recommander ou d'utiliser ces produits. Pour certains, cela peut être une alternative moins nocive, un "ex-fumeur ou vapoteurs occasionnels", mais pour d'autres, cela pourrait renforcer une dépendance ou les inciter à essayer des produits contenant de la nicotine. Une étude plus approfondie est nécessaire afin de bien évaluer le réel impact de cette alternative sur le bien-être des gens.
le 26 Juin 2025
FemmeSilencieuse, tu as raison de souligner l'importance des contrôles qualité. Si on veut jouer sur l'effet placebo des arômes, autant le faire avec des produits sûrs. Une astuce simple, c'est de vérifier si le fabricant publie des analyses de labo indépendantes pour ses e-liquides. Ça donne déjà une idée de leur sérieux. Et puis, comme dit, faut pas hésiter à demander conseil à son médecin ou pharmacien.