L'inscription via Parcoursup, c'est un passage obligé maintenant, même si ça peut paraître un peu déroutant au début. Ce qui est assez logique quand on sait que la demande pour les IFSI a augmenté de presque 15% ces dernières années. On voit bien que l'attrait pour les métiers du soin reste fort.
Pour ceux qui envisagent cette voie, il faut vraiment bien se préparer aux épreuves. Les tests psychotechniques, par exemple, sont souvent sous-estimés. Pourtant, ils peuvent représenter jusqu'à 30% de la note finale dans certains IFSI. Et puis, il y a l'entretien oral, où il faut savoir montrer sa motivation et sa connaissance du métier. Ce n'est pas juste une question de bonnes notes, il faut aussi démontrer qu'on a les qualités humaines nécessaires. L'empathie, la capacité à gérer le stress, l'esprit d'équipe... tout ça compte énormément.
Quant aux certificats médicaux obligatoires, c'est une procédure standard, mais il ne faut pas la négliger. Être à jour dans ses vaccinations, c'est une nécessité, et certains établissements peuvent exiger des examens complémentaires. Ça peut prendre un peu de temps, donc mieux vaut s'y prendre à l'avance pour éviter les mauvaises surprises. En plus, il faut penser au financement des études. Les frais d'inscription, le matériel pédagogique, le logement... tout ça représente un budget non négligeable. Il existe des aides, bien sûr, mais il faut se renseigner et faire les démarches nécessaires. Un étudiant infirmier peut dépenser en moyenne 5000 euros par an, et ce n'est pas rien.
En résumé, devenir infirmier, c'est un projet qui se prépare, tant sur le plan académique que pratique et financier. Mais avec de la motivation et une bonne organisation, c'est tout à fait accessible.
5000 balles par an ? Ah ouais, quand même... Faut vraiment être sûr de son choix, ou avoir un oncle Picsou dans la famille. M'enfin, si on compare à des études de médecine, c'est presque une aubaine, non ?
Quand tu dis que l'attrait pour les métiers du soin reste fort, c'est tellement vrai. Je le vois tous les jours à l'hôpital. Les jeunes sont motivés, mais faut pas se leurrer, la réalité du terrain peut être dure. C'est bien de le souligner pour Parcoursup, faut que les candidats soient conscients de ce qui les attend.
Lumiflora, tu as raison. La motivation, c'est la base, mais elle s'use vite face à certaines réalités. Je vois tellement de jeunes IDE (infirmiers diplômés d'État) craquer dans les deux premières années. On leur vend du rêve, l'altruisme, le soin... et ils se retrouvent face à la pénurie de personnel, la paperasse administrative qui prend un temps fou, les patients parfois difficiles... sans parler des salaires qui ne sont pas à la hauteur de l'engagement demandé.
CubeMasterX parlait des 5000 euros par an pour les études. C'est une somme, mais c'est surtout après que ça se complique. Entre le coût de la vie, les charges, et la pression pour se former en continu, c'est un vrai défi de rester motivé sur le long terme. D'ailleurs, on observe un taux d'attrition important, surtout dans les services les plus exposés comme les urgences ou la réanimation. Des études montrent que près de 40% des jeunes diplômés envisagent de quitter la profession dans les 5 ans suivant leur diplomation. C'est alarmant.
Alors oui, Parcoursup, c'est une étape, mais il faudrait aussi un accompagnement plus conséquent après l'obtention du diplôme. Du mentorat par des infirmiers expérimentés, des formations pour mieux gérer le stress et les émotions, une reconnaissance financière plus juste... Il y a du boulot pour rendre la profession plus attractive et surtout, pour fidéliser les soignants. Parce que former des infirmiers, c'est bien, mais les garder, c'est mieux.
Youssef2, tu mets le doigt sur un truc essentiel : l'après-diplôme. On se concentre tellement sur l'entrée en formation qu'on en oublie que c'est là que le vrai défi commence. Et le coup des 40% qui veulent se barrer en 5 ans, c'est juste effrayant.
On parle beaucoup de burn-out, mais je pense qu'il y a aussi une forme de "désenchantement" qui joue. Les jeunes s'imaginent un truc, et la réalité les rattrape en pleine face. Faut dire aussi que le manque de reconnaissance, ça aide pas. J'ai une amie qui est IDE, elle me raconte souvent des histoires... parfois, j'ai l'impression qu'on leur demande d'être des super-héros sans leur en donner les moyens.
Complètement d'accord avec toi, Mysterio. Le désenchantement, c'est exactement ça. On devrait peut-être organiser des sessions d'échanges avec des anciens pour que les futurs IDE aient une vision plus claire de la profession.
Lumiflora, c'est une excellente idée. Des sessions avec des anciens pourraient aider à préparer les esprits et éviter certaines déconvenues. Une vision claire, c'est la moindre des choses avant de s'engager dans une voie aussi exigeante.
Je pense que cette vidéo pourrait intéresser ceux qui se posent des questions sur le DEI. Ça résume bien les 10 points essentiels à connaître avant de se lancer dans la formation, et ça permet d'avoir une vision un peu plus concrète de ce qui attend les futurs infirmiers.
le 07 Mai 2025
L'inscription via Parcoursup, c'est un passage obligé maintenant, même si ça peut paraître un peu déroutant au début. Ce qui est assez logique quand on sait que la demande pour les IFSI a augmenté de presque 15% ces dernières années. On voit bien que l'attrait pour les métiers du soin reste fort. Pour ceux qui envisagent cette voie, il faut vraiment bien se préparer aux épreuves. Les tests psychotechniques, par exemple, sont souvent sous-estimés. Pourtant, ils peuvent représenter jusqu'à 30% de la note finale dans certains IFSI. Et puis, il y a l'entretien oral, où il faut savoir montrer sa motivation et sa connaissance du métier. Ce n'est pas juste une question de bonnes notes, il faut aussi démontrer qu'on a les qualités humaines nécessaires. L'empathie, la capacité à gérer le stress, l'esprit d'équipe... tout ça compte énormément. Quant aux certificats médicaux obligatoires, c'est une procédure standard, mais il ne faut pas la négliger. Être à jour dans ses vaccinations, c'est une nécessité, et certains établissements peuvent exiger des examens complémentaires. Ça peut prendre un peu de temps, donc mieux vaut s'y prendre à l'avance pour éviter les mauvaises surprises. En plus, il faut penser au financement des études. Les frais d'inscription, le matériel pédagogique, le logement... tout ça représente un budget non négligeable. Il existe des aides, bien sûr, mais il faut se renseigner et faire les démarches nécessaires. Un étudiant infirmier peut dépenser en moyenne 5000 euros par an, et ce n'est pas rien. En résumé, devenir infirmier, c'est un projet qui se prépare, tant sur le plan académique que pratique et financier. Mais avec de la motivation et une bonne organisation, c'est tout à fait accessible.
le 07 Mai 2025
5000 balles par an ? Ah ouais, quand même... Faut vraiment être sûr de son choix, ou avoir un oncle Picsou dans la famille. M'enfin, si on compare à des études de médecine, c'est presque une aubaine, non ?
le 08 Mai 2025
Quand tu dis que l'attrait pour les métiers du soin reste fort, c'est tellement vrai. Je le vois tous les jours à l'hôpital. Les jeunes sont motivés, mais faut pas se leurrer, la réalité du terrain peut être dure. C'est bien de le souligner pour Parcoursup, faut que les candidats soient conscients de ce qui les attend.
le 08 Mai 2025
Lumiflora, tu as raison. La motivation, c'est la base, mais elle s'use vite face à certaines réalités. Je vois tellement de jeunes IDE (infirmiers diplômés d'État) craquer dans les deux premières années. On leur vend du rêve, l'altruisme, le soin... et ils se retrouvent face à la pénurie de personnel, la paperasse administrative qui prend un temps fou, les patients parfois difficiles... sans parler des salaires qui ne sont pas à la hauteur de l'engagement demandé. CubeMasterX parlait des 5000 euros par an pour les études. C'est une somme, mais c'est surtout après que ça se complique. Entre le coût de la vie, les charges, et la pression pour se former en continu, c'est un vrai défi de rester motivé sur le long terme. D'ailleurs, on observe un taux d'attrition important, surtout dans les services les plus exposés comme les urgences ou la réanimation. Des études montrent que près de 40% des jeunes diplômés envisagent de quitter la profession dans les 5 ans suivant leur diplomation. C'est alarmant. Alors oui, Parcoursup, c'est une étape, mais il faudrait aussi un accompagnement plus conséquent après l'obtention du diplôme. Du mentorat par des infirmiers expérimentés, des formations pour mieux gérer le stress et les émotions, une reconnaissance financière plus juste... Il y a du boulot pour rendre la profession plus attractive et surtout, pour fidéliser les soignants. Parce que former des infirmiers, c'est bien, mais les garder, c'est mieux.
le 08 Mai 2025
Youssef2, tu mets le doigt sur un truc essentiel : l'après-diplôme. On se concentre tellement sur l'entrée en formation qu'on en oublie que c'est là que le vrai défi commence. Et le coup des 40% qui veulent se barrer en 5 ans, c'est juste effrayant. On parle beaucoup de burn-out, mais je pense qu'il y a aussi une forme de "désenchantement" qui joue. Les jeunes s'imaginent un truc, et la réalité les rattrape en pleine face. Faut dire aussi que le manque de reconnaissance, ça aide pas. J'ai une amie qui est IDE, elle me raconte souvent des histoires... parfois, j'ai l'impression qu'on leur demande d'être des super-héros sans leur en donner les moyens.
le 09 Mai 2025
Complètement d'accord avec toi, Mysterio. Le désenchantement, c'est exactement ça. On devrait peut-être organiser des sessions d'échanges avec des anciens pour que les futurs IDE aient une vision plus claire de la profession.
le 10 Mai 2025
Lumiflora, c'est une excellente idée. Des sessions avec des anciens pourraient aider à préparer les esprits et éviter certaines déconvenues. Une vision claire, c'est la moindre des choses avant de s'engager dans une voie aussi exigeante.
le 11 Mai 2025
Je pense que cette vidéo pourrait intéresser ceux qui se posent des questions sur le DEI. Ça résume bien les 10 points essentiels à connaître avant de se lancer dans la formation, et ça permet d'avoir une vision un peu plus concrète de ce qui attend les futurs infirmiers.